Ilest donc probable qu’ y avoir du monde au balcon procĂšde de cette profusion d’occasions d’y siĂ©ger dans des circonstances favorables Ă  l’épanouissement de l’ñme crĂ©ative. Car c’est bien de cela dont il s’agit : l’expression y avoir du monde au balcon est celle d’une poĂ©sie, d’une imagination, d’un trouble aussi. SouventimprovisĂ© sur un simple canevas, ouvertement destinĂ© Ă  son aud… La critique de la rĂ©daction : 7.5/10. Un conte entiĂšrement revisitĂ© pour plaire aux adultes et RegardezY a du monde au balcon - info24fr sur Dailymotion. Recherche. BibliothĂšque. Se connecter. S'inscrire. Regarder en plein Ă©cran. il y a 6 ans. Y a du monde au balcon. info24fr. Suivre . il y a 6 ans. Signaler. acesInscrite Il y a 9 mois 4 critiques . Utile: Oui Non-Spectacle Ă  aller voir et revoir. 10/10. Un rĂ©el moment de dĂ©tente et d'humour. Un duo qui fonctionne parfaitement. Bravo Ă  vous et encore merci pour cet agrĂ©able moment # Ă©crit le 08/11/21 , a vu Y'a du monde au balcon !,Pelousse Paradise Ales avec Jess82 Inscrite Il y a 2 ans 1 critique . Utile: Oui Non yavoir du monde au balcon \i.j‿a.vwaʁ dy mɔ̃.d‿o bal.kɔ̃\ (se conjugue → voir la conjugaison de y avoir ) ( FigurĂ©) Avoir de gros seins . Une senteur de lilas s'Ă©panouit au dessus du comptoir et dĂ©loge un instant la mixture de tabac froid et de soupe aux choux qui languit entre le plancher et les murs. L'Adeline joue de la prunelle Celui(Ă  replacer dans le topic ad hoc) que l'on trouve dans l'expression "il y a du monde au balcon" pour signaler un dĂ©colletĂ© particuliĂšrement gĂ©nĂ©reux! Haut . Pampille Sujet du message : PubliĂ© : 21 Juil 2006 16:29 . Thucydide: Inscription : 05 Avr 2006 16:11 Message(s) : 58 Bon Ă©tĂ© messieurs! J'arrive de mon petit balcon et j'aperçois cette liste. Le balcon est dĂ©cidĂ©ment un 86b4w. Il y a dans le Monde Diplomatique du mois de mars un trĂšs bel article de BenoĂźt BrĂ©ville sur la sĂ©cession des grandes villes. Il y explique grosso modo comment les mĂ©tropoles qui s’opposent aux politiques des États s’organisent pour devenir audibles sur la scĂšne mondiale. De lĂ  est nĂ©e une interrogation subsidiaire avant d’ĂȘtre audibles, comment existent les petites villes sur le territoire national ?Je vous Ă©pargne une lecture inutile si le sujet ne vous intĂ©resse pas je n’ai pas la rĂ©ponse. Je m'attacherai uniquement Ă  observer l'impact sociologique d'une pandĂ©mie sur un ensemble de communes de province de taille modeste. Avant toute chose, il faut savoir qu’en France, ne sont reconnues administrativement que trois types de collectivitĂ©s locales la rĂ©gion, le dĂ©partement et la commune. On dĂ©nombre sur le territoire un peu moins de 35 000 communes selon la nomenclature officielle de l’INSEE, qui s’est toutefois permis quelques libertĂ©s sĂ©mantiques afin de mieux rendre compte de la rĂ©alitĂ© en-deca de 5 000 habitants, c’est un bourg, au-delĂ  de 200 000 habitants, une mĂ©tropole. Entre les deux, il n’existe que des villes, petites de 5 000 Ă  20 000 habitants, moyennes jusqu’à 50 000 habitants ou grandes. Suilly-La-Tour 58 Mon choix s’est arrĂȘtĂ© sur Cosne-Cours-sur-Loire et sa communautĂ© de communes, seconde ville la plus peuplĂ©e du dĂ©partement de la NiĂšvre malgrĂ© ses 10 000 habitants, pour les raisons suivantes Le dĂ©partement de la NiĂšvre est le seul de la rĂ©gion oĂč le virus ne circule pas activement. Les Parisiens " en confinement " sont nombreux sur le clinique de la ville a fermĂ© il y a quelques le plus proche habilitĂ© Ă  recevoir des patients Covid-19 est situĂ© Ă  Nevers, Ă  une cinquantaine de kilomĂštres. Nevers qui avec ses 33 000 habitants se classe d’ailleurs tout en bas du classement des grandes villes » françaises. Bref. Pour faire simple, la NiĂšvre est un trou paumĂ©. La NiĂšvre, c'est ici Un trou paumĂ© dans lequel il fait nĂ©anmoins bon vivre, si on considĂšre le nombre d’étrangers venus y investir dans la pierre. " Le territoire nivernais n'a pas une grande unitĂ© et c'est bien ce qui fait sa richesse. D'un cĂŽtĂ©, il y a le Morvan, sorte d'exception granitique au coeur de la Bourgogne, de l'autre la vallĂ©e de la Loire et un entre-deux, pentu et riche, qui s'Ă©tire vers le nord. Tout cela Ă  environ deux heures de Paris et de Lyon ", s’émerveillait en 2005 un promoteur immobilier dĂ©sormais Ă  la retraite. Dans le dĂ©partement, 74 communes abritent plus de 40 % de rĂ©sidences secondaires, soit plus de 20 000 logements au Cosne, tout a Ă©tĂ© pensĂ© pour le bien-ĂȘtre des riverains comme des citadins en villĂ©giature on trouve une gare, trois lycĂ©es et autant de collĂšges, un cinĂ©ma, une piscine, quatre gymnases, une mĂ©diathĂšque, un stade, un EHPAD, un abattoir, un hypermarchĂ©, un supermarchĂ©, un skatepark, des dizaines de commerces de proximitĂ©s, un office de tourisme et mĂȘme un musĂ©e. Ne manque qu’au joyeux tableau un Ă©tablissement clĂ©, surtout en pĂ©riode de pandĂ©mie l'hĂŽpital. La clinique du Nohain a Ă©tĂ© fermĂ©e au mois de dĂ©cembre, pointĂ©e du doigt par l’ARS pour " manquements rĂ©pĂ©tĂ©s Ă  la sĂ©curitĂ© des soins ". En l’absence de repreneurs sĂ©rieux, elle a Ă©tĂ© mise en liquidation judiciaire. L'hĂŽpital assure le service minimum avec les urgences, mais plus de chirurgie ni de pĂŽle ambulatoire. Malheureux hasard du calendrier, l’épidĂ©mie de Covid-19 se dĂ©clarera quelques semaines plus tard. Les mĂ©decins de ville ne se bousculent pas non plus au portillon. " Quand un mĂ©decin part en retraite, pour le remplacer tu peux courir, me confie une amie. Une maison de santĂ© a Ă©tĂ© construite Ă  La CharitĂ©-sur-Loire, mais il leur manquait un mĂ©decin. Pour le faire venir, il a fallu le loger, lui donner une prime. Plein de mĂ©decins viennent de Bosnie ou des pays de l’Est car personne d’autre ne veut venir. " Dans ce contexte, l’arrivĂ©e massive des rĂ©sidents secondaires n’est pas toujours vue d’un trĂšs bon Ɠil. " L’hĂŽpital de Nevers doit dĂ©sormais Ă©ponger toutes les communes et on a plus de mĂ©decins dans ma ville, confie Marjorie, qui vit Ă  Donzy. Donc je comprends que les Parisiens et les Lyonnais aient envie de profiter de leur jardin pendant le confinement, mais ce serait sympa de penser Ă  nous. " Tous les jours, AndrĂ©, muni de son autorisation, se rend Ă  la boulangerie de Suilly-la-Tour pour venir chercher sa baguette. " Quand je vois ce qu’il se passe dans les grandes villes
 Je vais vous dire ce que je pense c’est une honte. "Afin d'Ă©valuer la lĂ©gitimitĂ© de ces accusations, j'ai pris contact avec trois Parisiens confinĂ©s » dans la NiĂšvre d'autres tĂ©moignages sont publiĂ©s ce jour dans Le Journal du Centre. Il ne s’agit pas dinterroger de dresser un Ă©tat des lieux exhaustif des comportements parisiens, encore moins une typologie d’un Ă©ventuel " comportement parisien ", mais bien de rendre compte de faits en portant la voix d'une poignĂ©e d'intĂ©ressĂ©s si vous trouvez le panel restreint, je vous invite Ă  tĂ©lĂ©charger Tinder lors d'un sĂ©jour dans la NiĂšvre. Le premier, Olivier*, vit seul dans la grande bĂątisse familiale qui longe les bords de Loire. De nature prudente, il avait dĂ©jĂ  emmagasinĂ© de larges quantitĂ©s de vivres au cours des derniers mois. RĂ©sultat des courses dont il est privĂ© hihi, il s’ennuie tellement qu’il " change toutes les poignĂ©es de porte de la maison avec ce qu’il y a au garage ". Cas de figure similaire pour Philippe, un jeune Boulonnais qui rĂ©side chez ses parents avec sa sƓur. Ce lundi, courses hebdomadaires. ZĂ©ro paquet de pĂątes et " jamais Ă©tĂ© aussi heureux d’aller au supermarchĂ© ". Julien, professeur de français, limite Ă©galement ses dĂ©placements, mĂȘme s'il s'accorde quelques promenades en pleine nature. Mais alors, pourquoi tant de haine ? Dans son article du Monde Diplomatique, Benoit BrĂ©ville explique comment en s’unissant autour d’intĂ©rĂȘts communs pour influer sur les centres de dĂ©cisions, les mĂ©tropoles ont accentuĂ© la fracture territoriale avec les campagnes, l’attractivitĂ© des premiĂšres entrainant le dĂ©clin des secondes. Éternelles exclues des circuits Ă©conomiques nationaux, toujours en dĂ©calage face Ă  l’écrasant modĂšle mĂ©tropolitain, les campagnes n’auraient-elles d’autres options que le repli ? " Moins d’habitants, moins d’emplois, des logements moins chers, c’est aussi moins de recettes pour les collectivitĂ©s locales, avec des effets sur l’offre des services publics, l’entretien des infrastructures
, analyse le journaliste. 
 C’est dans ces zones que l’extrĂȘme-droite et que les partis dits populistes sont le mieux implantĂ©s. " AprĂšs des dĂ©cennies d'ancrage Ă  gauche, la NiĂšvre a fini par cĂ©dĂ© aux sirĂšnes populistes en 2017 en votant massivement pour Marine Le Pen lors des Ă©lections prĂ©sidentielles 25% des suffrages au premier tour, 40% au second. Les premiĂšres motivations du vote FN Ă©taient en 2017 sondage Ifop-Fiducial pour Le Journal du Dimanche et Sud Radio le mĂ©contentement Ă  l’égard des autres partis politiques, l'approbation du constat fait sur l’état de la France et enfin l'adhĂ©rence aux idĂ©es sur l'immigration. Difficile toutefois de croire que ce dernier volet reprĂ©sente une menace sĂ©rieuse dans la rĂ©gion. Dans la communautĂ© de communes Coeur de Loire les immigrĂ©s reprĂ©sentent 4% de la population , moins de la moitiĂ© de la moyenne nationale. Du cĂŽtĂ© des crimes et dĂ©lits, le Conseil intercommunal de sĂ©curitĂ© et de prĂ©vention de la dĂ©linquance faisait Ă©tat de 624 faits de dĂ©linquance gĂ©nĂ©rale dans le canton de Cosne-sur-Loire en 2016, deux fois moins que l'annĂ©e prĂ©cĂ©dente. Comparatif des crimes et dĂ©lits entre Cosnes-Cour-Sur-Loire et Étampes, une ville moyenne de banlieue parisienne. A Étampes, Jean-Luc MĂ©lenchon a recueilli 27% des voix au premier tour. © Mais l’étranger est ici avant tout un Ă©tranger au sens anthropologique ce n'est pas tant celui de la couleur que celui des valeurs. BenoĂźt BrĂ©ville, qui explique dans Le Monde Diplomatique qu’il y aurait dĂ©sormais d’un cĂŽtĂ© " des espaces ouverts, tournĂ©s vers l’avenir " et de l’autre des espaces " fermĂ©s, accrochĂ©s Ă  leurs traditions ", dĂ©veloppe ainsi sa rĂ©flexion " En renforçant l’idĂ©e qu’elles ne se sentent plus concernĂ©es par le sort du reste du pays, les mĂ©tropoles 
 participent Ă  la transformation des clivages sociogĂ©ographiques en conflit de valeurs ". Ce conflit de valeurs peut ĂȘtre objectivĂ© par le traitement mĂ©diatique de la mobilisation citoyenne depuis l'apparition du virus. Il suffit de passer quelques heures sur les rĂ©seaux sociaux pour s'apercevoir que cette mobilisation, bien que protĂ©iforme, est observable assez uniformĂ©ment sur l'ensemble du territoire, avec un monde " Ă  l'arrĂȘt " qui prĂȘte main forte aux vaillants soldats envoyĂ©s sur le front. NĂ©anmoins, j'ai un peu le sentiment que dans les mĂ©dias de masse se dĂ©gagent deux reprĂ©sentations de la solidaritĂ© assez bipolaires. Il y aurait d’un cĂŽtĂ© des citadins en dignes hĂ©ritiers des LumiĂšres qui applaudissent chaque soir religieusement le corps mĂ©dical depuis leurs balcons, de l’autre des ploucs insensibles qui passent leur week-end Ă  tondre la pelouse tout en rĂȘvant de voir les portes de leurs hĂŽpitaux fermĂ©es aux bien sauf qu'Ă  la campagne, on n’a pas de balcon. Et ce n’est pas si anodin. Passons sur le balcon comme topos de la littĂ©rature amoureuse et arrĂȘtons-nous sur sa dimension spatiale et son rĂŽle de marqueur de frontiĂšre. Le balcon, c’est d’abord l’endroit oĂč l’on est vu de l’extĂ©rieur. Par sa position entre deux pĂŽles, l'intĂ©rieur et l'extĂ©rieur, le balcon devient un espace privilĂ©giĂ© de reprĂ©sentation. Si la fenĂȘtre permet d’observer, le balcon, lui, permet de surplomber le monde et de l’aborder de maniĂšre panoramique. À cet Ă©gard, les scĂšnes de communion au balcon dans les grandes villes de France, oĂč chacun est Ă  la fois acteur et spectateur, expliquent en partie pourquoi il est devenu aussi essentiel que symbolique durant quelques minutes, on s’arrache au huit clos de l’espace et du mental pour former un tout unitaire. Ensemble, on crĂ©e le spectacle, on incarne la Grande Nation unifiĂ©e. Je vous renvoie ici Ă  l'excellent billet de Titiou Lecoq sur le sujet. Et c’est parti pour le show. Sauf ne va quand mĂȘme pas se quitter comme ça. Pour que la fĂȘte soit totale, un dernier invitĂ© est venu se greffer au bal la camĂ©ra. Applaudissez, vous ĂȘtes filmĂ©s. LĂ  oĂč ça se corse, c'est que comme ses sujets, la camĂ©ra est Ă  la fois acteur et spectateur, tĂ©moin oculaire et force mobilisatrice. J’entends par lĂ  que l’une des spĂ©cificitĂ©s citadines dans cette expression de la solidaritĂ©, c’est la place occupĂ©e par la posture. Celle des campagnes me fait penser Ă  ce passage de Nuits PartagĂ©es, le poĂšme de Paul Éluard toutes les occasions sont bonnes " Nous avons refusĂ© de laisser entrer les spectateurs, car il n'y a pas de spectacle. Souviens-toi, pour la solitude, la scĂšne vide, sans dĂ©cors, sans acteurs, sans musiciens. L'on dit le théùtre du monde, la scĂšne mondiale et, nous deux, nous ne savons plus ce que c'est. " Celle des villes... bah, Ă  son exact opposĂ©. Au balcon, on est moins solidaire qu’une projection de solidaritĂ©, qui n’existe qu'Ă  travers le miroir grossissant des rĂ©seaux sociaux. Elle y est nĂ©e, y vit et lorsqu’elle cessera d’exister dessus, il est fort probable qu’elle cesse d’exister tout l'inverse, la solidaritĂ© est une pierre angulaire de la vie rurale. Seulement ici, on appelle ça l’entraide. Si la solidaritĂ© le " lien contractĂ© par des personnes rĂ©pondant en commun Ă  une obligation " est d’abord un mouvement de rĂ©action, l’entraide " l’aide qu’on se porte mutuellement " s’inscrit plutĂŽt dans une constance. Dans la NiĂšvre, on n’a peut-ĂȘtre pas de balcons, mais on a parfois des jardins et quand c’est le cas, on en fait profiter tout le monde. On prend des nouvelles de ses commerçants. On tond le gazon des absents. La semaine derniĂšre, deux sexagĂ©naires sont venues apporter des gants Ă  la gĂ©rante de leur supĂ©rette. Sans tomber dans le mythe rĂ©ducteur de la civilisation champĂȘtre prĂ©servĂ©e du cynisme productiviste, l’obligeance est un mode de vie dont on se revendique volontiers. Est-ce que c’est la mentalitĂ© campagnarde, je ne sais pas, mais lorsque je vais en ville je demande toujours Ă  mes voisins si quelqu’un a besoin de quelque chose. C’est ce que j’aime ici », explique une bien Ă  l’abri des camĂ©ras, comme toujours.*Tous les prĂ©noms ont Ă©tĂ© changĂ©s. Au 2 avril, 52 personnes ont Ă©tĂ© testĂ©es positives au Covid-19 dans la NiĂšvre, dont 15 sont hospitalisĂ©es et 9 en rĂ©animation. Un foyer de coronavirus a Ă©tĂ© identifiĂ© Ă  Cosne-Cour-sur-Loire. Pour aller plus loin Dumay, J. 2018 La France abandonne ses villes moyennes dans Le Monde Diplomatique. Eluard, P. 1932. Nuits PartagĂ©es dans La vie ImmĂ©diateMarie A. doctorant, UniversitĂ© de Paris X-Nanterre. Le balcon ou la reprĂ©sentation pervertie Lorca, Genet, PasoliniNoyon R. 2020 Pour comprendre la psychologie d’une population travaillĂ©e par une Ă©pidĂ©mie... ». L'article se penche sur les consĂ©quences sociales des Ă©pidĂ©mies Ă  l'aide d'extraits de La Peur en Occident de Jean Delumeau. Dans cet ouvrage qui examine la diversitĂ© des formes qu’épouse la peur dans la sociĂ©tĂ©, l’historien consacre un chapitre Ă  la peur collective de la peste. L’article de l’Obs liste chronologiquement les rĂ©actions de la population, du dĂ©ni des autoritĂ©s premiĂšre Ă©tape Ă  la recherche de coupable 9e et derniĂšre Ă©tape. ï»żAccueil ‱Ajouter une dĂ©finition ‱Dictionnaire ‱CODYCROSS ‱Contact ‱Anagramme avec lui, il y a du monde au balcon — Solutions pour Mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s Recherche - Solution Recherche - DĂ©finition © 2018-2019 Politique des cookies. Pour faire monter la tempĂ©rature sur Instagram, on peut compter sur notre bonne copine Heidi Klum. Pas une semaine ne passe sans que la belle Allemande ne poste une salve de 10 photos d’elle en petite tenue. Ou en pas de tenue du tout. Longues jambes mises en valeur, abdos saillants, poitrine gĂ©nĂ©reuse exhibĂ©e avec sensualité  Le top model devenue star de la tĂ©lĂ© donne tout pour faire parler d’elle. Et bien sĂ»r, on le lui rend bien. Si Heidi Klum a bien profitĂ© de ses vacances pour s’afficher tous les jours en maillot de bain, la rentrĂ©e aurait pu ĂȘtre fatale pour le feed Instagram de la belle. Fort heureusement, en faisant son retour sur les plateaux tĂ©lĂ© de America’s got Talent, Heidi a retrouvĂ© la divine Sofia Vergara. Et ensemble, elles semblent se livrer Ă  un concours de dĂ©colletĂ© plongeant. Comme si elle s’étaient lancĂ©es mutuellement un dĂ©fi pour savoir qui osera dĂ©voiler au maximum sa poitrine Ă  chaque Ă©mission. Heidi Klum et Sofia Vergara duo chic et parchoc ! Comme les tĂ©lĂ©spectateurs amĂ©ricains doivent ĂȘtre heureux de pouvoir admirer la plastique d’Heidi Klum et Sofia Vergara ! Heureusement pour nous, EuropĂ©ens, les stars partagent Ă  tout-va leurs jolies tenues dĂšs qu’elles le peuvent sur Instagram. Mais la tempĂ©rature est particuliĂšrement montĂ©e lorsque le duo s’est affichĂ© ensemble pour un selfie sulfureux oĂč l’on a bien du mal Ă  les regarder dans les yeux. Robe avec dĂ©colletĂ© lacĂ© pour Heidi d’un cĂŽtĂ© un look signĂ© Dolce & Gabbana et robe bustier Ă  peine visible pour Sofia Vergara. Une chose est sĂ»re les deux femmes savent se mettre en valeur. Une seule question nous taraude mais oĂč s’arrĂȘteront-elles ? Sera-t-il possible de pousser encore les limites de la sensualitĂ© ? On prend peu de risque en annonçant que oui. Car on le sait on peut toujours compter sur Heidi Klum pour envoyer du lourd sur les rĂ©seaux et nous ravir chaque jour un peu plus. Sofia Vergara n’aura qu’à lui emboiter le pas. Et quel pas ! Sofia Vergara son dĂ©colletĂ©, sa signature ? Pour Sofia Vergara, sa poitrine, c’est tout une histoire. L’actrice de 50 ans est d’ailleurs connue pour ĂȘtre l’une des stars des plus gĂątĂ©es par la nature de ce cĂŽtĂ©. En 2017, lorsqu’elle posait Women’s Health, elle a dĂ©clarĂ© Je suis nĂ©e avec des seins Ă©normes. Je les ai depuis que j’ai 13 ans et ils sont devenus plus gros quand j’ai Ă©tĂ© enceinte et que j’ai eu mon bĂ©bĂ©. » Mais jamais elle n’a eu ou n’aura recours Ă  la chirurgie esthĂ©tique, le naturel est son plus bel atout. J’ai 45 ans. MĂȘme en le voulant, Ă  cette pĂ©riode de la vie, vous ne pouvez pas ĂȘtre parfaite. Ce n’est pas qu’on dĂ©teste notre corps ou que cela nous contrarie, mais c’est la rĂ©alitĂ©. Nos changeons et je le vois bien. Je veux faire mon Ăąge, mais je veux avoir l’air en forme. » Acceptez son Ăąge et son corps, la clĂ© du bonheur ? l'essentiel AprĂšs la mort d'Imanol, ce garçon de 3 ans happĂ© par un tracteur conduit par son pĂšre, les gendarmes poursuivent leur enquĂȘte. Les parents seront interrogĂ©s la semaine prochaine. En attendant, des rapports d'expertises sont attendus. Au lendemain de la disparition d'un petit garçon, dĂ©cĂ©dĂ© ce mercredi Ă  Villemur-sur-Tarn, ses parents ont obtenu l'autorisation d'organiser ses funĂ©railles. AprĂšs l'ouverture d'une enquĂȘte pour homicide involontaire par nĂ©gligence, la famille craignait que le petit Imanol soit autopsiĂ©. Mais le parquet de Toulouse n'a pas jugĂ© que cet examen mĂ©dico-lĂ©gal Ă©tait nĂ©cessaire. Cette dĂ©cision judiciaire va permettre Ă  ses parents, brisĂ©s par leur chagrin, de procĂ©der Ă  la crĂ©mation de l'aĂźnĂ© de leurs enfants. "Au-delĂ  du drame, c'est un vĂ©ritable cauchemar que vivent les parents. J'ose espĂ©rer que l'institution judiciaire , gagnĂ©e par une empathie qui se veut Ă©vidente, fera preuve du discernement qui s'impose" L'affaire reste tout de mĂȘme entre les mains de la justice. Les auditions des parents devaient dĂ©buter ce vendredi matin, mais leur Ă©tat psychique actuel a obligĂ© les militaires Ă  repousser cet interrogatoire. "Au-delĂ  du drame, c'est un vĂ©ritable cauchemar que vivent les parents. J'ose espĂ©rer que l'institution judiciaire , gagnĂ©e par une empathie qui se veut Ă©vidente, fera preuve du discernement qui s'impose", annonce Me Guy Debuisson, l'avocat de la famille. Expertise du tracteur Les enquĂȘteurs de la communautĂ© de brigades de Fronton espĂšrent pourtant les entendre en dĂ©but de semaine prochaine. D'ici lĂ , les forces de l'ordre auront peut-ĂȘtre des retours d'expertises. Quelques heures aprĂšs le terrible accident, le tracteur avait en effet Ă©tĂ© transfĂ©rĂ© dans les locaux des techniciens en identification criminelle TIC afin qu'ils procĂšdent Ă  des prĂ©lĂšvements et des analyses. Ces spĂ©cialistes vont imaginer plusieurs scĂ©narios en fonction des dĂ©clarations des parents et des indices retrouvĂ©s sur place. À la fin des investigations, le pĂšre d'Imanol, qui conduisait l'engin agricole lors du drame, pourrait ĂȘtre mis en examen. D'aprĂšs son tĂ©moignage, mercredi matin, il aurait pris la dĂ©cision de faucher des herbes sĂšches dans un champ situĂ© en contrebas de sa belle ferme rĂ©novĂ©e. Et pour faire plaisir Ă  son fils, ce paysagiste a acceptĂ© de le prendre avec lui sur le tracteur. Imanol Ă©tait assis sur un garde-boue pendant que son papa roulait. Tout se dĂ©roulait normalement puis l'enfant a subitement glissĂ© Ă  l'arriĂšre du vĂ©hicule en pleine manƓuvre. CoincĂ© sous les roues, le garçonnet n'a pas survĂ©cu malgrĂ© l'intervention de sa mĂšre et des secours. Absent de Villemur-sur-Tarn ces jours-ci, Jean-Marc Dumoulin, maire, a exprimĂ© sa peine aussitĂŽt aprĂšs avoir pris connaissance de cette tragĂ©die "C'est un grand drame qui a eu lieu dans une famille installĂ©e depuis longtemps Ă  Villemur. Cela me remplit de tristesse. Toutes mes pensĂ©es, sincĂšres, vont vers cette famille et ses proches", confie l'Ă©lu.

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